Synthèse sur la création de l'univers

Publié le par Nimbus46

Notre hypothèse consistant à considérer la création de notre univers par la chute de quarks provenant d’un univers infini dans un immense trou noir lié à une énergie-masse E0 d’environ 1053 kg n’a fait que se renforcer par la cohérence totale des résultats des calculs sur la base de cette hypothèse avec les mesures et observations astronomiques.
Pour rappel un trou noir est un objet astronomique de masse M et de rayon R inférieur à la dimension de son rayon de Schwartzschild qui définit l’horizon gravitationnel. Cette situation est exceptionnelle dans notre univers et la condition de trou noir se produit notamment lorsqu’une étoile ayant brulé tout son carburant atomique s’écroule sur elle-même sous l’effet de sa propre masse. Les physiciens admettent en général l’existence d’un nombre important de trous noirs dans notre univers mais connaissent peu les conditions physiques existant à l’intérieur des trous noirs.
La masse d’un trou noir issu de l’écroulement d’une étoile est de l’ordre et au mieux égal à la masse de l’étoile qui lui a donné naissance soit égale à quelques masses solaires voire quelques dizaines de masse solaires soit environ 1030 kg. Il n’existe aucune étoile de masse 1053 kg car cette masse correspond à 1023 masse solaire soit des milliards de milliards de soleils. En fait cette valeur correspond non pas à la masse d’une étoile mais à la masse totale de toutes les étoiles de l’ensemble des galaxies de notre univers. Le trou noir dont nous parlons ici pour expliquer la création de l’univers serait égal à toute la masse de la matière de notre univers concentrée en un point de rayon nul.
Représentation d’un trou noir avec toute la matière concentrée à l’intérieur de l’horizon gravitationnel

Représentation d’un trou noir avec toute la matière concentrée à l’intérieur de l’horizon gravitationnel

Le calcul du rayon de l’horizon gravitationnel d’un tel trou noir, à partir de la relation X= 2kM/C2 qui définit le rayon de Schwartzschild de toute masse M, donne 15,4 milliards d’années-lumière pour une masse M de 9,8 1052 kg, la valeur estimée de la masse pour notre univers. Tout se passe donc comme si tout notre univers connu s’écroulait sur lui-même comme une simple étoile se transformant en un trou noir. Ce constat nous a renforcés dans l’idée que la création de notre univers était de nature gravitationnelle à une immense échelle. C’est ce que nous avons démontré et que nous essayons de résumer ici. Tous les détails relatifs à notre modèle et aux calculs de nos relations sont étayés dans nos précédents articles.
Les relations induites par notre hypothèse et révélées par notre modèle trigonométrique indiquent que le signe du temps lors du passage de l’horizon gravitationnel d’un trou noir s’inverse au passage de l’horizon. Du point de vue du temps à l’extérieur du trou noir, un objet en chute libre qui passe la frontière de l’HG remonte le temps lorsqu’il se dirige vers le centre de gravité. En pratique, tout se passe comme si son mouvement de l'HG vers le centre se déroulait du centre vers l'HG (nous verrons que c'est ce qui explique la théorie du Big Bang).
Fig 3- Représentation des symétries de part et d’autre de HG6 Le quark Q1 est à la fois en A en A’

Fig 3- Représentation des symétries de part et d’autre de HG6 Le quark Q1 est à la fois en A en A’

Au temps T1, Le quark Q1 se trouve simultanément avec la même vitesse V1 en A et A’ aux distances respectives X1 et Y1 de HG. Nos relations montrent également que les gravités en A et A’ sont rigoureusement égales Nous allons représenter les valeurs des paramètres de chute non plus avec le centre de gravité comme origine du temps et de l’espace mais procéder à une translation de façon à ce que l’origine des valeurs espace et temps soit sur l’HG (données sur le tableau de la fig 2). X est négatif avant O et positif après alors que la durée est négative avant et également après O. Ceci explique que la gravité (dV/dT) soit positive après HG bien que la vitesse décroisse (dV et dT sont tous deux négatifs).
 Fig 7- 4 étapes dans l’évolution de notre univers. La position actuelle selon notre théorie est surlignée en gris (3eme étape)

Fig 7- 4 étapes dans l’évolution de notre univers. La position actuelle selon notre théorie est surlignée en gris (3eme étape)

Réalité ou virtualité ?
Toute cette étude tend à montrer que les univers intérieurs et extérieurs de ce trou noir-univers qui présentent des symétries troublantes, pourraient n’être au fond que 2 formes d’une même réalité. Quand on dit que nous sommes simultanément à la fois en un point A1 de l’espace extérieur et en un point A2 de l’espace intérieur, avec la même vitesse, la même gravité et le même temps, comment ne pas penser que le monde intérieur est bien une image du monde extérieur (et inversement) et que l’hypothèse de la réflexion que nous avions développée dans un de nos précédents articles relatif aux trous noirs soit la réalité de notre univers.
En d’autres termes, lorsque qu’un quark est en chute libre vers le centre de gravité de E0, il rebondirait littéralement sur l’HG du trou noir-univers et repartirait vers l’infini d’où il vient sans jamais entrer dans l’intérieur du trou noir. Notre univers serait alors un espace infini doté d’un horizon cosmique de 13,6 milliards d’années-lumière qui n’est rien d’autre que l’horizon gravitationnel de ce trou noir. Lorsque nous observons les confins de l’univers après le rebond, il nous apparait bien en expansion car notre temps s’est inversé avec le rebond.
Rien ne permet de choisir entre l’hypothèse du rebond et celle de la traversée de l’HG. Que ce soit un rebond ou une traversée de l’HG, l’origine de notre univers ne serait pas un Big Bang apparu il il ya 13,6 milliards d’années mais au contraire la naissance d’un univers il y a 260 milliards d’années qui s’est nourri de quarks venant de l’infini et qui s’est ordonné en étoiles, en galaxies et en amas de galaxies. Nous pensons également que les différents trous noirs de notre univers (il en existerait des milliards) ont pour fonction d’avaler le trop plein des matières résultant de la mort des dizaines de générations d’étoiles (chaque génération comportant des milliards de milliards d’étoiles) et de les retourner dans l’espace infini sous forme de quarks qui vont peut-être revenir dans notre univers et ainsi de suite.(N'oublions pas que la matière qui pénètre dans un trou noir va également inverser son temps qui sera du même signe que celui de l'espace extérieur)
Affinage des valeurs et de l’état actuel de notre univers :
Nous sommes partis initialement de l’idée que notre univers en chute était en bout de course de sa chute et que sa vitesse devait être pratiquement nulle mais le calcul de la vitesse d’expansion nous oblige à tenir compte de la constante de Hubble qui donne une « expansion de l’univers à 52 km/s et par megaparsec. Nous avons recherché la position angulaire de notre modèle permettant à la fois de voir l'HG à 13,6 milliards d'années-lumière et que la vitesse en tout point de l'univers depuis notre position actuelle donne la valeur de la constante de Hubble. (Notre théorie indique que la valeur de la constante de Hubble donnant une vitesse d'expansion de l'univers proportionnelle à la distance est une approximation).
 Fig 8 : Représentation de la vitesse de chute selon la distance à la position actuelle de notre univers

Fig 8 : Représentation de la vitesse de chute selon la distance à la position actuelle de notre univers

Conclusion :
Nous avons repris les chiffres et simulé des valeurs de masse et de position actuelle pour que nous ayons une valeur moyenne égale à la constante de Hubble. Nous savons que la relation entre la vitesse et la distance n’est pas linéaire puisque d’après nos relations, la vitesse est proportionnelle à la racine carrée de la distance.
En admettant que la constante de Hubble, qui est supposée mesurer l’expansion de l’univers, mesure la chute de celui-ci, alors nous pouvons positionner notre univers grâce à notre théorie et dater son origine il y a environ 200 milliards d’années. Nous pouvons également affirmer que la matière (galaxies, étoiles.) couvre 13,6 milliards d’années-lumière sur un total de 15,7 milliards d’années-lumière que mesure notre univers. La vitesse de chute de notre univers serait actuellement encore d'environ 100000 km/s. La vitesse de chute continue à diminuer et il faudra un temps infini pour couvrir les 2 milliards d'années-lumière restant.
Nous avions une indétermination sur la position actuelle de notre univers dans le cadre de notre hypothèse d’un univers en chute libre dans un trou noir. Nous pouvons maintenant donner notre position à 2 milliards d'années-lumière du centre de gravité vers lequel nous nous dirigeons à la vitesse de 100000 km/S.
Nous pouvons également dater la création de l’univers à environ 260 milliards d’années terrestres.
L'histoire de la création :
Il y a des centaines de milliards d'années, l'univers était isotrope et composé non pas de vide mais d'un brouillard homogène de quarks mais aucune force ni d'attraction ni de répulsion n'existait.
Il y a environ 500 milliards d'années terrestre l'univers qui était plat au sens relativiste s'est légèrement déformé entrainant le mouvement des quarks vers le centre de gravité de l'univers. La vitesse des quarks a augmenté très lentement d'abord puis de plus en plus vite au fur et à mesure qu'on approchait du centre de gravité.
Il y a 200 milliards d'années, les premiers quarks atteignent la vitesse limite de la lumière à une distance de 15,6 milliards d'années-lumière du centre de gravité. Nous sommes très exactement alors au niveau de notre horizon cosmique actuel.
Notre modèle indique que nous sommes alors à un point où la vitesse ne pouvant dépasser la vitesse de la lumière, va diminuer au contraire. De nos jours nous sommes donc à 200 milliards d'années terrestre depuis le passage de l'horizon et notre vitesse est de 100 000 km/s. Nous n'atteindrons jamais le centre de gravité mais dans plusieurs centaines de milliards d'années, l'univers n'aura plus qu'une vitesse de quelques centaines de km/s.
Depuis que nous entrés à l'intérieur de l'horizon cosmique, notre temps (au sens relativiste du terme) après être passé par 0 est devenu négatif. C'est la raison pour laquelle nous voyons le mouvement de l'univers à l'envers (du futur vers le passé). Ce temps négatif est à l'origine de l'erreur sur la théorie du Big Bang puisqu'en effet nous voyons les galaxies s'éloigner les unes des autres alors qu'en fait elles tombent vers le centre de gravité.
La vitesse de chute est égale à celle qui est donnée par la constante de Hubble mais dans l'autre sens, ce qui confirme bien la plausibilité de notre théorie.
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C
Pourquoi la vitesse de la lumière est aussi élevée que 300212 Km/s(fermaton.over-blog.com)
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C
Voir Blog(fermaton.over-blog.com)No.16 - THÉORÈME FISHER. -La figure du temps.
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C
Voir Blog(fermaton.over-blog.com)No.16 - THÉORÈME FISHER. -La figure du temps.
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C
Blog(fermaton.over-blog.com),No-21.- THÉORÈME MERCURE. - Einstein aurait-il pu construire la Relativité ?
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