Big Bang ou Big Crunch ?

Publié le par Nimbus46

Préambule:


Notre modèle qui avait timidement démarré sur la représentation trigonométrique de la relativité restreinte en représentant la relation entre le temps relativiste et la vitesse d’un mobile s’est soudainement avéré être un modèle relativiste général où la masse du corps gravitationnel M s’est substitué à la vitesse pour définir le temps relativiste pour chaque point de l’espace sous influence gravitationnelle de M.

resumé

 

Nous pensions que nous avions tiré de ce modèle tout ce qui lui était possible d’exprimer quand il nous entraina lui-même vers l’espace « interdit » des trous noirs. Il suffit de "lire" le modèle pour être tenté d'exprimer les relations ci-dessus au-delà de π/2, précisément entre l’horizon gravitationnel et le centre de la sphère matérielle à très forte densité matérielle du trou noir.


Nous allons donc rappeler les informations principales livrées par notre modèle entre  π/2 et π dans notre modèle

 

graph4

 Lorsque A se trouve sur le quart situé en haut et à gauche de notre modèle, la masse m représentée par le point A  se situe entre l’horizon gravitationnel et le centre du trou noir.
OH qui représente le temps relativiste est négatif et prend  la valeur -1 pour α= π.
AH qui représente la vitesse, reste positif tout en décroissant après π/2 pour passer de C à 0 pour α= π

 

trou-noir
 
  Voici les résultats issus de notre étude précédente sur les trous noirs :

   

 

representation-3.jpg

parametres.jpg

Analyse des paramètres de part et d’autre du trou noir :


Comme nous l’avons indiqué dans l’article précédent sur les trous noirs, il existe une symétrie parfaite des paramètres gravité, temps et masse de part et d’autre de l’HG si on prend comme dimension de référence l’angle α de notre modèle  et pourtant les dimensions réelles concernées sont, avant l’HG l’infiniment grand et de l’autre à l’intérieur de l’HG égale à la longueur d’un rayon de Schwartzschild soit quelques kms seulement.

 

Le centre du trou noir a, en valeur absolu, les mêmes paramètres que l'espace infiniment loin avant l’HG.
Cette antisymétrie globale entre le fini et l’infiniment grand est troublante et je ne peux m’empêcher de penser que ces deux univers se déduisent l’un de l’autre par une transformations géométrique qui est du type -1/x ou x représenterait les distances du centre du trou noir en prenant comme unité de longueur le rayon de Schwartzchild . L’infiniment loin négatif devient bien 0 et l’Horizon se transforme en lui-même en inversant les temps et les masses.
Si on considère les masses et les dimensions spatio-temporelles, l’intérieur de l’horizon de Schwartzchild d’un trou noir est le transposé inversé de l’espace extérieur.


Interprétation des résultats :


Si on attribue arbitrairement un signe positif, aux masses et aux dimensions spatio-temporelles de l’espace extérieur  alors les masses et les dimensions spatio-temporelles de l’espace à l’intérieur de l’HG d’un trou noir seront négatives.
L’intérieur d’un trou noir est composé d’anti-matière et son temps propre est négatif par rapport au temps que nous connaissons à l’extérieur de son horizon gravitationnel.


Tableau-2.jpg

Les deux mondes sont transposés l’un de l’autre mais ne peuvent se rencontrer car la rencontre de deux mondes composés de matière et d’antimatière serait à l’origine d’une puissance explosive inimaginable. L’horizon par sa nature singulière agit comme une barrière de protection infranchissable. C’est ce qui nous avait conduit dans la précédente étude à en déduire que la matière de notre espace attirée par la gravité du trou noir (en fait par celle de l’horizon gravitationnel) « rebondissait dans l’espace mais également dans le temps et d’une certaine manière remontait le temps.


Encore une fois notre modèle nous entraine malgré nous vers une autre conclusion ; et si le big bang n’était pas exactement ce que l’on croit ?


Qu’est ce que le Big Bang ?


Il y a eu débat dans le passé à propos de l’origine de notre univers et notamment d’une naissance il y a environ 14 milliards d’année suite à une immense explosion qu’on a baptisé le big bang. La question a  été réglée lorsque des techniciens de la société Bell ont détecté que tout notre espace en tous points avait conservé la trace de la température du Big Bang sous la forme d'une température fossile de de 4°K ,  «diluée » par 14 milliards années d’expansion de l’univers.


Il s’est donc passé quelque chose il y a 14 milliards d’années mais ce que nous observons n’est pas conforme à tout ce que nous avons l’habitude de constater avec nos étoiles et nos galaxies. En effet, tout notre univers est centripète à savoir que les masses s’attirent entre elles (c’est la loi de gravitation bien connue depuis Galilée). Comment s’expliquer alors que le Big bang qui a donné naissance à notre univers soit lui centrifuge et non centripète puisque tout s’éloigne de tout au lieu de s’attirer.


On peut évidemment rétorquer que le big bang n’est pas de même nature que la gravité ce qui est possible mais ce serait assez « chagrinant » qu’il se comportât ainsi.
Quitte à me faire à nouveau renvoyer dans mes 22, notre modèle qui décidemment est un « faux modeste » nous souffle une autre explication à partir des relations que nous avons relevées de part et d’autre de l’HG du trou noir.
Pour faire court, je vais tenter de raconter sur un ton narrateur du genre « il était une fois.. » une autre histoire que celle que nous connaissons.


Il était une fois le Big Crunch.


Il était une fois il il ya 14 milliards d’années un univers composé d’étoiles et de galaxies constituées d’antimatière et se déplaçant dans un anti-temps (pour dire qu'il était de signe opposé  au temps actuel).  Or cet univers se contractait depuis des milliards d’années sous l’effet de la gravité créée par une énergie immense très supérieure à la masse de l’univers.  La contraction était lente au départ mais il y a  14 milliards d’années après,  l’univers entier atteignit une région qui n’était autre que l’horizon gravitationnel de cette immense énergie.


Que se passa-t- il alors ?  La vitesse de la matière approchait de la vitesse de la lumière qu’elle devait en théorie atteindre au contact de l’HG. Comme nous l’avons vu précédemment l’antimatière de l’univers ne pouvait pas passer la barrière de l’HG et « rebondit » sur cet horizon gravitationnel en inversant et son temps et sa masse qui sont alors devenus notre temps et notre masse actuelle, ainsi que nous l’avons montré dans l’article précédent sur les trous noirs. Cet évènement s’est en effet  produit il ya 14 milliards d’années et les conséquences de ce Big Crash et ce rebond qui en est résulté  (disons les premières millisecondes) ressemblent assez à ce que les physiciens ont théorisées à propos du Big Bang. Les paramètres des premiers instants ne sont pas descriptibles par nos mots ni par nos équations et ne sont certainement pas du ressort de notre approche.


Le big bang ne serait donc pas né de rien mais serait simplement le »ricochet » de l’univers d’antimatière sur l’horizon gravitationnel de cette énergie cachée.
Le temps que nous vivons actuellement serait donc le passé de cet univers en contraction que nous remontons.


Remarque : Les spécialistes de la physique quantique qui étudient l’infiniment petit ont noté des propriétés curieuses de  certaines particules élémentaires qui tantôt remontent le temps, tantôt ont des comportements couplés à d’autres particules pouvant se situer à l'autre extrémité de l’univers sans qu'on comprenne bien ce qui leur permet de communiquer entre elles. Et si le temps que nous remontons pouvait expliquer partiellement ce  que constatent sans les expliquer  les physiciens quantiques ?

Publié dans Sciences

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